Petite, lorsque l’on me demandait ce que je voulais devenir quand je serais grande, ma réponse était simple ; je voulais être la femme du Père Noel.
Pourquoi?
Car l’une de mes valeurs principales est la valeur “famille”.
Soutenir l’homme qui rendait les enfants heureux était pour moi un véritable but à atteindre. Je rêvais de ce monde incroyable dans lequel un homme veillait sur les enfants toute l’année et leur apportait des cadeaux lors de la période la plus sombre. Quand on y réfléchit, c’est une analogie parfaite du rôle de parent.
Veiller sur eux et être présent pour les périodes les plus difficiles.
Je vous laisse imaginer ma déception lorsque j’ai appris que le Père Noël n’existait pas. Je me suis alors promis de trouver une autre façon de réaliser ce rêve.
Malheureusement, la vie a décidé de me pousser dans mes retranchements.
Lorsque j’eu 10 ans, ma mère fit une fausse couche. Cet événement fit exploser le cocon familial et mon envie de famille sereine devint une véritable obsession.
Mon entrée dans l’adolescence fut la période la plus difficile de ma vie.
Ce fut mon moment sombre. Mais pour moi, aucun Père Noël ni parent bienveillant n’eut la force de venir m’aider. J’ai dû me débrouiller seule, veiller sur ma famille dysfonctionnelle.
C’est à l’âge de 16 ans que je signai mon premier contrat de bail pour vivre loin des miens. Mes relations familiales furent difficiles durant les années qui ont suivi.
C’est tout naturellement que je me suis tournée vers une formation d’assistante sociale pour venir en aide aux jeunes et à leur famille.
Au fond de moi, mon ambition de rendre les enfants heureux est restée, elle s’était même intensifiée suite aux épreuves vécues dans ma propre famille.
Après les études durant lesquelles je me suis spécialisée en Systémique familiale, en gestion de conflit et en Analyse Transactionnelle, j’ai travaillé dans différents services publics de l’aide aux jeunes.
Après quelques années j’ai fait un malheureux constat… Ces services n’ont absolument pas les mêmes valeurs que moi. Ils ne servent pas à aider les familles ni même à apporter un bien-être quelconque. Ils servent à réguler, contrôler et apporter des petites aides ponctuelles qui résolvent les symptômes plutôt que de traiter le problème.
J’ai donc décidé de me lancer à mon propre compte pour réaliser ce que je voulais devenir lorsque je serais grande, aider le Père Noël à rendre les enfants heureux.
Dans notre monde, cela signifie que j’accompagne des parents dans leur rôle pour rendre les adolescents heureux. Car un adolescent heureux signifie une famille plus sereine et un monde meilleur.
Pour réussir cet objectif, je vous laisse découvrir mes offres d’accompagnements :